mardi, 24 décembre 2013 17:31

Serment d’Hippocrate ou d’hypocrite ?

Écrit par Le Témoin
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Djamel Haïmoudi, docteur dans la vie courante et referee de football le weekend, ou inversement, je ne sais trop et, au demeurant, peu importe.

Celui qui nous intéresse aujourd’hui, c'est l’arbitre.

Un arbitre international intronisé " number one in Africa " mais, comme c'est souvent le cas, notre Djamel national n'est pas plus prophète dans son pays que qui vous savez (coïncidence du 24 décembre oblige).

Sinon, comment expliquer son médiocrissime arbitrage lors du dernier USMA-JSK.


Une partialité tellement évidente qu'elle aura choquée, outre l'ancien arbitre international Youbi, d'habitude très prompt à minimiser les fautes de ses ex collègues, mais également les pourtant jiskistes déclarés Medane, la science footballistique infuse, et Zine l’amer, l'homme aigri en permanence à la gluante chevelure gominée.

Zine l’amer et son binôme dyspnéique, qui d’habitude se regardent en chien de faïence, se sont, ô miracle, alliés pour la circonstance en buvant fraternellement à la coupe de fiel anti USMA, sur le plateau de la plus nullissime émission de foute baballe du paysage audiovisuel planétaire

Haïmoudi, qui n'est pas à sa première iniquité vis à vis de l’USMA (la dernière en date a été commise lors du ¼ de finale contre l'USMH où il priva l'USMA d'un penalty gros comme la lune de cette soirée-là et d'un but limpide en fin de partie, privant l’USMA d’une qualification).

Désolé pour cette digression mais cette émission et ses "animateurs" symbolisent parfaitement la médiocrité institutionnalisée.

La question qu'il convient, donc, de se poser est : pourquoi cet arbitre, notoirement reconnu à l'échelle internationale, commet si souvent des "erreurs" sur des fautes graves et aussi évidentes que le nez au milieu du visage de Pinocchio, au risque certain de dire bye bye Brasilia ?

Il serait, cependant, honnête de rappeler que l’USMA n'est pas la seule victime de ses mauvaises "appréciations". Il suffit de revoir les matchs qu’il a dirigés et qui ont opposé d'autres équipes pour constater que c'est un incorrigible récidiviste.

Ce constat prouve, si besoin en était, que Haïmoudi est soit un incompétent avéré qui a eu une chance de cocu dans son parcours arbitral, soit un peureux, voire un lâche, qui fait preuve d'une rare malhonnêteté intellectuelle pour répondre docilement à certains présidents de clubs bénéficiant d'une médiatisation plus que surfaite de la part d’indécrottables feuilles de choux, afin d’être toujours dans leurs bonnes grâces.

Brrr, un médecin qui bafoue allègrement les principes de base de la déontologie cela fait froid dans le dos.

Au fait, un médecin n'est-il pas supposé avoir prêté le serment d’Hippocrate ? Mais je m’égare.

Je tente donc de répondre à ce double questionnement.

J’exclus d'emblée la première alternative au regard de son cheminement international.

Conséquemment, je considère que le comportement improbe de Haïmoudi s'apparente à de la corruption passive qui n'est pas forcément financière ou à base d'avantages en nature.

Malheureusement, dans cette forme de corruption la preuve est difficile, voire impossible, à établir. Cependant, souvent la corruption passive mène tout droit à la corruption active.

Pour toutes ces raisons, il est suprêmement urgent que cet énergumène, disposant d'un pouvoir régalien l'espace de 90 ou 120 minutes, soit banni à tout jamais des stades d’Algérie et... d'ailleurs.

Mais pour ce faire faudrait- il d’abord refonder tout le système pourri qui régit ou régente l’arbitrage algérien.

Vœux, hélas, pieux à l'aune d'une nouvelle année 2014 que je souhaite chargée de titres et de bonheur à l’USMA et à ses supporteurs

Le témoin

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